La réalité de la circoncision

                 Pour ceux qui auraient des doutes sur les sequelles d'une circoncision, cette opération souvent qualifiée de bégnigne il suffit de savoir très exactement de quoi il s'agit dans le détail et comment cela se passe.

                 Tout d'abord la circoncision néonatale :

                 Peu importe qu'elle soit pratiquée en milieu hospitalier ou pas, il n'en demeure pas moins vrai qu'il faut que le bébé puisse être décalotté pour justement pouvoir sectionner son prépuce.

                 Tout le monde est bien d'accord sur le fait qu'une très grande majorité de nouveaux-nés n'a pas cette faculté puisque la peau du gland est collée à celle du prépuce, il s'agit alors d'adhérences dites prépuciales.

                  Souvent vient s'y ajouter un anneau prépucial infiniment trop petit et serré pour permettre le moindre décalottage cela est un phimosis physiologique.

                  Ces deux différents états sont quelque chose d'absolument normal qui ont la faculté de se résorber et se résoudre seuls, tout simplement avec le temps, parfois allant même jusqu'au début de la puberté, la nature l'a prévu ainsi !

                  Donc pour pouvoir circoncire il faut séparer les peau collées entre elles, cela se fait par la force par tension et par arrachage sans autre forme de procès.
   
                  . . . et en plus s'il y a phimosis physiologique il y a déchirement de l'anneau prépucial et ce à vif  !


                  S'il s'agit de milieu hospitalier il y a anesthésie, mais si c'est un autre lieu cela se fait dans le sang la douleur et les cris du malheureux bébé, sous cette ignoble torture.

                  On entrevoit déjà quelques futures séquelles se traduisant par une insensibilité du gland puisque lors de la séparation des peaux on comprend bien qu'une multitude de terminaisons nerveuses sont arrachées et donc détruites particulièrement dans toutes les zones ou il y aura eu des plaies.

                  Ensuite le chirurgien va découper le prépuce le plus près possible de sa base sans oublier le frein de prépuce qui ne sert plus à rien, mais qui pour mémoire est la partie la plus innervée du corps.

                   Là encore lorsque l'on sait que le prépuce d'un adulte normalement constitué représente pratiquement la surface et les dimensions d'une carte postale, comportant plus d'un millier de terminaisons nerveuses et en plus les milliers d'autres détecteurs se nommant "Corpuscules de la volupté" qui sont des cousins des nerfs.

                  Il faut également prendre en compte l'abblation du frein de prépuce, alors qu'il est réputé être la partie la plus innervée de tout le corps humain et donc une des plus sensibles.

                  Il est facile de s'imaginer le manque singulier de sensibilité par rapport a un homme incirconcis.

                  Tout cela, c'est dans l'immédiat et n'a que peu d'importances pour le bébé, mais au fil des années la fine peau du gland n'étant plus protégée par le foureau chaud et humide qu'était le prépuce se retrouve maintenant exposée à l'air et frotte en permanence contre les sous vêtements.

                  Il va donc s'y passer une transformation cutanée, cette fine peau va se kératiniser, phénomène bien connu, c'est-à-dire, qu'elle va s'achècher, durcir et surtout s'épaissir au fil du temps.

                   On s'en rend compte en voyant la couleur pâle du gland en érection, alors que chez l'incirconcis cette même peau est rouge, voire violacée par endroits.

                  Cette couleur blafarde est simplement due au fait de son épaississement et donc n'est plus assez transparente pour permettre d'entrevoir le sang gorgeant sous pression les corps spongieux, formant le gland.

                  On comprend bien que la presque totalité des terminaisons nerveuses encore intactes sont enfouies dans l'épaisseur de cette peau puisque la nature les a prévu suffisament courtes afin d'affleurer une peau très fine uniquement lorsqu'elle est tendue par l'érection, elles sont donc absolument innactives !

                  Si l'on récapitule tous ces manques, ces transformations cutanées, il est évident qu'il ne reste plus grand chose de la sensibilité d'origine prévue par la nature à l'âge adulte !

                  Pour les autres circoncisions infantilles, hormis les arrachement de peau suite aux adhèrences prépuciales, c'est strictement la même chose qu'il se passe et s'agrave au fil des années !

                   Idem pour les circoncisions effectuées plus tardivement !

             Pour toutes les circoncisions, la perte de sensibilité se fait au fil des années !

                  Toutes les circoncisions ont un autre point commun, la fameuse cicatrice.

                  Suivant l'habileté du chirurgien elle sera parfaitement linéaire ou bien plus ou moins ratée avec une multitude d'excroissances de peau, mais très fragile, toujours prête a se réouvrir sous le moindre effort.

                   Cela est logique puisque puisque l'on fait se souder ou cicatriser de la peau recouvrant l'extérieur du sexe, avec de la fragile muqueuse tapissant la base intérieure du prépuce, souvenons nous que le frein de prépuce était là pour justement limiter les déplacements et donc éviter des arrachements ! ( la nature avait prévu le nécessaire ! )

                   Bien souvent, suite à un taux de circoncision très sévère on constate une déviation de la verge en érection, elle est coudée avec une forte tension douloureuse sur la cicatrice.

                   C'est la suite logique a un manque,de peau plus flagrant d'un coté que de l'autre.     

                               Donc, erreur médicale !

                  Parfois, suite à l'opération il survient des petits ponts de peau entre la courone du gland et la cicatrice qu'il convient de faire enlever par le chirurgien qui a négligé son travail de suivi !


                  Donc, autre erreur médicale !

                  Je passe sous silence le risque de destruction du gland suite à utilisation de bistouris électriques comme c'est arrivé et maintes fois décrits dans d'autres sites, également silence sur les risques importants anesthèsique ou choc opératoire encourrus par le malheureux petit patient et risques importants d'infections y compris milieu hospitalier.

                  Tout cela additionné, fait tout de même beaucoup pour une opération réputée par certains contradicteurs parfaitement bégnigne et sans modifications ressenties par chacun des partenaires lors des rapprochements sexuels adultes !

                                 C'est vraiment l'art absolu de nier l'évidence !

         La circoncision est bien l'anéantissement du plaisir sexuel masculin !


 

 

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