Résultats
partiels d'une restauration du prépuce entreprise
avec la méthode décrite dans les pages de ce site.
Voici un résultat qu'aujourd'hui il est possible de communiquer sans
risque d'erreur puisque il
s'agit d'un constat réellement visible.
Tout d'abord pour information, afin de pouvoir donner un ordre de grandeur en
temps, le plus juste possible, il ne s'agit
pas d'une restauration suivie parfaitement tous les jours, à cause de
convenances personnelles obligées.
C'est pourquoi il est préférable de parler en heures comptabilisées
réellement, plutôt qu'en jours
ou années, ce qui ne voudrait rien dire.
Donc, après 7500 heures de douces élongations, 42
millimètres de peau ont été reconstruit !
La mesure a été faite avec une très légère
tension de la peau, le dispositif T-Tape en place.
Le dispositif T-Tape retiré, le sexe à l'état flacide,
le gland est donc maintenant aux trois quarts
recouvert, mais ce recouvrement n'est pas encore suffisant pour être
permanent sans aide.
Il faut quand même bien préciser que le taux de circoncision
avait été poussé à son paroxysme.
Effectivement comme prévu, c'est une peau semble-t-il, légèrement
plus épaisse que celle d'un
prépuce normal qui n'a pas été traumatisé par le
scalpel.
On s'en rend compte surtout, là ou elle se replie sur elle même,
tout au bout, car sur le reste du recouvrement,
elle semble assez fine, peut-être n'est-ce qu'un manque d'extrême
souplesse, comme c'est le cas avec
la peau d'un prépuce d'origine.
Reste a voir pour confirmation, si pour l'épaisseur de cette nouvelle
peau, il ne s'agit pas aussi pour
l'instant, que d'une légère enflure tout-à-fait normale,
dûe aux perpétuels étirements et donc à
la régénération forcée
de celle-ci.
Au repos, à l'état flacide, on constate une multitude de petits
replis légèrement plus foncés qui
commencent a bien se creuser vers l'extrémité, comme sur un original.
La peau ainsi recréée a exactement la même texture et couleur
que celle recouvrant le reste de la verge,
par contre il semble qu'elle soit légèrement plus satinée,
comme celle du corps d'un bébé
sans doute parcequ'elle est toute neuve.
Elle comporte sur toute sa longueur des grosses veines, ainsi qu'une multitude
de plus petites rouges ou bleutées,
qui zigzaguent dans tous les sens. Elles sont le prolongement de celles
que l'on trouve sur toute la longueur du
sexe.
Et curieusement ce début de nouveau prépuce est assez innervé.
Les nerfs en question
viennent là aussi, de la base et du pourtour de la verge.
Les autres modifications constatées sont la nouvelle coloration
rouge sang de la muqueuse derrière
le gland y compris un changement de teinte de la couronne vers le rouge.
Un début d'humidification de la muqueuse et du sillon balano pénien,
alors qu'auparavant ils étaient
totalement secs et de couleur beaucoup plus blanchâtre.
Et bien sûr, le plaisir de toutes ces nouvelles sensations effectives
et surtout le désir de vouloir rester
si possible en permanence, le gland le plus possible recouvert,
appréciant et comment donc ...
ce nouveau confort.
Quant
au nouveau dessin visuel, alors là, c'est au delà de toutes espérances
!
Comment
expliquer que le présent est totalement différent de l'avant,
ce sur tous les plans autant du point de vue morphologique que sur celui des
sensations nouvelles insoupçonnées qui modifient complêtement
les valeurs connues jusqu'à lors, du plaisir.
Ainsi, rien à voir avec les noires prophéties de certains spécialistes
qui assuraient que la restauration
entreprise ne se terminerai que par de la peau vivante certes, mais totalement
amorphe flasque, blafarde et glabre, sans
la moindre élasticité ni le moindre nerf, pendouillant lamentablement.
Autrement dit, création de peau, oui peut-être, mais du style
cadavérique !
Il est sûr que le corps médical a des progrès a faire pour
admettre et comprendre une restauration
du prépuce non chirurgicale, qui plus est, sans le moindre
artifice . . . médical !
. . . qui permet de générer une magnifique peau protectrice, strictement
identique à celle du reste
du pénis en effaçant plus ou moins la trace de cette maudite cicatrice
!
à suivre . . .